Les lois de bioéthiques nous ont entraîné sur pente dangereuse selon Jean-Marie Le Méné. Trente ans plus tard, la plupart des interdits érigés à l’époque ont été levés.

Les lois de bioéthiques nous ont entraîné sur pente dangereuse selon Jean-Marie Le Méné. Trente ans plus tard, la plupart des interdits érigés à l’époque ont été levés.
Le 26 avril, Jean-Marie Le Mené, président de la Fondation Jérôme Lejeune, a été auditionné à l’Assemblée nationale par la commission spéciale sur la fin de vie.
Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Lejeune, dénonce les conséquences de la constitutionalisation de l’avortement.
Alors que le projet de loi visant à inscrire l’IVG dans la Constitution a été présenté ce jour en Conseil des ministres, Jean-Marie Le Méné s’interroge sur cette mesure.
Le Conseil d’Etat a donné raison à la Fondation Jérôme Lejeune contre l’ABM, qui avait autorisé une recherche sur l’embryon qu’elle savait illégale.
Jean-Marie Le Méné a été invité par le groupe d’étude sur la fin de vie de l’Assemblée nationale à débattre face à Denis Labayle.
« En France, comme aux Etats-Unis, ce sont les parlementaires qui font la loi, pas les juges », rappelle Jean-Marie Le Méné.
L’exemple italien déroule le processus qui permet d’obtenir un glissement de la sédation profonde et continue vers une légalisation de l’euthanasie dite “active”.
Jean-Marie Le Méné réagit au vote de la loi Gaillot et à l’intention d’intégrer l’avortement à la Charte des droits fondamentaux de l’Union.