Fin janvier 2012, des chercheurs français ont identifié une anomalie chromosomique récurrente dans des cellules neurales dérivées de cellules souches pluripotentes humaines, c’est-à-dire dans les cellules souches embryonnaires et les cellules souches pluripotentes induites (iPS).
Cette découverte représente une avancée, car cela va permettre de repérer facilement cette anomalie aux différentes étapes de la thérapie cellulaire, et donc d’éliminer systématiquement les préparations susceptibles de représenter un risque pour le patient.
Le Quotidien du Médecin 27/01/12