A Namur (Belgique), une femme déclarée morte, après que son coma a été estimé irréversible par les neurologues, a été maintenue artificiellement en vie en vue d’un prélèvement d’organes. Mais avant l’opération, la patiente s’est réveillée et son électro-encéphalogramme s’est remis en mouvement ainsi que son activité cérébrale. Elle est actuellement en soins intensifs.
Note de Gènéthique.
La majorité des donneurs d’organes sont des personnes décédées par mort encéphalique et maintenue artificiellement en vie (activité cardiaque et respiration) afin que les organes destinés à être greffés soient irrigués en sang et en oxygène pour rester fonctionnels « le temps de rechercher la non opposition du défunt, puis de procéder au prélèvement au bloc opératoire » www.dondorganes.fr.
7sur7.be 16/09/2014