Des médecins californiens aurait transposé sur une patiente âgé de 60 ans une expérience jusqu’alors tentée sur des souris pour soigner la maladie d’Alzheimer. Ils ont injecté dans la région du cerveau atteinte par la maladie, des cellules de la peau modifiées génétiquement pour produire un facteur de croissance nerveux.
Cette protéine, très active au cours du développement du cerveau chez le fœtus, est capable de stimuler la survie des cellules nerveuses adultes. Cet essai en thérapie génique publié dans le Sunday Telegraph, est un formidable espoir pour tous les malades atteints de cette affection.
Le Monde 14/08/01