Alexis DUPORT

L’Etat civil français refuse le changement de prénom de « Lilie », « transgenre » de 8 ans

L’Etat civil français refuse le changement de prénom de « Lilie », « transgenre » de 8 ans

Dans le Vaucluse, les parents d’un enfant de 8 ans qui affirme « se sentir fille dans un corps de garçon » ont demandé à faire modifier son prénom à l’Etat civil. Actuellement appelé « Lilie » par sa famille et sa maîtresse, ce n’est pas son prénom à l’état-civil....

Vers l’intégration du « dossier médical partagé » à l’« espace numérique de santé »

Vers l’intégration du « dossier médical partagé » à l’« espace numérique de santé »

Le dossier médical partagé (DMP) doit intégrer l’espace numérique de santé (ENS) (cf. L’Assemblée Nationale pour la mise en place de l’ « espace numérique de santé ») qui est prévu pour le mois de janvier 2022. Le projet de décret « qui sera présenté au Haut Conseil des professions paramédicales (HCPP) le 9 mars », consulté par Hospimedia, en précise les modalités.

Belgique : les avortements en légère baisse en 2019

Belgique : les avortements en légère baisse en 2019

En Belgique, 18.027 avortements ont été pratiqués en 2019 selon les données publiées par « le rapport bisannuel de la Commission nationale de d’évaluation de la loi d’octobre 2018 sur l’avortement ». En 2018, 18.273 avortements avaient été recensés. Un chiffre qui était en hausse par rapport à l’année précédente où 17.108 interruptions volontaires de grossesse avaient été dénombrées.

Australie : L’euthanasie bientôt dépénalisée en Tasmanie ?

Australie : L’euthanasie bientôt dépénalisée en Tasmanie ?

En Australie, les députés de l’Assemblée de Tasmanie ont voté l’adoption d’une loi sur l’« aide à mourir », à 16 voix pour, 6 contre. La chambre basse ayant amendé le projet de loi, il doit encore être approuvé une nouvelle fois par la chambre haute pour être adopté. La loi devrait entrer en vigueur mi-2022.

Australie : L’euthanasie bientôt dépénalisée en Tasmanie ?

Euthanasie : une mort douce ?

Bien que « la plupart des gens » pense que le processus mis en Å“uvre pour une euthanasie ou un suicide assisté est « rapide et indolore », « ce n’est pas toujours le cas ».

L’Etat de l’Oregon qui publie des statistiques liées à la loi « sur la mort dans la dignité » indique qu’une durée de 104 heures a été observée avant la mort effective du patient. Des « complications » existent comme des « régurgitations » ou « des crises d’épilepsies ». Et dans huit cas constatés depuis 1998, « le patient a repris conscience » au cours du processus.