En avril dernier, le gouvernement australien a légalisé l’utilisation pour la recherche de quelques 70 000 embryons surnuméraires (cf. revue de presse du 10/04/02). Les chercheurs australiens, bien que se félicitant d’une telle réforme, considèrent quand même ces propositions comme insuffisantes.
Ils dénoncent notamment le fait de ne pouvoir avoir accès à ces embryons avant trois ans et ils déplorent que le gouvernement interdise le clonage thérapeutique et la création d’hybrides zoohumains.
Companynews 14/05/02