Le Centre de bioéthique de l’Université de Toronto vient de publier l’étude d’un groupe d’experts sur l’usage des analgésiques ou sédatifs en fin de vie.
Ces médicaments atténuent la douleur des personnes en fin de vie mais administrés à haute dose ils peuvent précipiter la mort du patient.
Le constat de base est que plusieurs médecins n’osent pas prescrire de fortes doses de sédatif ou d’analgésique parce qu’ils craignent d’être accusés d’euthanasie, comme cela s’est déjà produit au Canada.
16 lignes directrices ont donc été définies afin de faire la différence entre le traitement palliatif et l’euthanasie.
Radio Canada 16/09/02