Deux équipes américaines indépendantes ont mis au point un nouveau modèle d’étude de la sclérose latérale amyotrophique (SLA) en utilisant des cellules souches embryonnaires humaines. Les chercheurs en attendent une accélération des travaux visant à l’identification de molécules capables de freiner le développement de cette maladie neurodégénérative.
Le Quotidien du Médecin (Elodie Biet) 04/12/08