Alors que la commercialisation de la « pilule du lendemain » avait été autorisée par le gouvernement en mars
dernier, un avocat a porté plainte au nom de plusieurs organisations non gouvernementales luttant contre le droit à l’interruption volontaire de grossesse. La Cour suprême de justice a donc interdit la vente de la pilule du lendemain considérant qu’il s’agit d’un médicament abortif.
La Constitution du pays défend, en effet, le droit à la vie de l’enfant à naître.
Zenith 30/08/01 – Le Quotidien du médecin 03/09 /01