Des chercheurs ont recréé en laboratoire les conditions pathologiques de motoneurones tels qu’ils sont affectés dans l’atrophie spinale musculaire. Cela va permettre d’observer de près les mécanismes de la mort de ces cellules et ouvrir la voie pour l’étude d’autres maladies neurodégénératives génétiques.
Ce sont des cellules iPS (induced Pluripotent Stem cells), dérivées de cellules de peau d’un malade qui ont permis la mise au point de ce modèle.
Quotidien du Médecin 18/12/08