Jeudi 21 mai, « le Conseil Fédéral de médecine du Brésil et les 27 Conseils régionaux qui représentent les 400 000 médecins du pays ont prônés […] la dépénalisation de l’avortement jusqu’à trois mois de grossesse« . Actuellement, au Brésil, l’avortement est autorisé en cas de viol ou de danger pour la vie de la mère. Les médecins souhaitent ainsi élargir « les cas où l’avortement serait légal comme l’anencéphalie (absence de cerveau) ou anomalies incurables du foetus et ‘si la femme enceinte le souhaite, jusqu’à la douzième semaine de grossesse« . Le Sénat brésilien, qui a sollicité les conclusions des médecins, veut également « réformer le code pénal sur ce sujet« .

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