Après deux lettres adressées au Président de la république, la tribune de 70 médecins et personnel de santé qui rappelant que « Vincent Lambert n’est pas en fin de vie et qu’il a droit à des soins adaptés à son état, Lundi 16 juillet, Viviane Lambert a rencontré deux conseillers du Président Emmanuel Macron.
Elle leur a expliqué que Vincent ne bénéficiait toujours pas de soins adaptés, mais aussi « que les heures de de visite de sa famille qui vient le voir quotidiennement sont toujours restreintes, qu’en cette période de chaleur, il n’a toujours pas le droit d’être sorti de sa chambre et de prendre l’air dans un fauteuil adapté à son état ». Viviane Lambert, qui demande depuis 5 ans le transfert de son fils vers un service spécialisé, a ajouté : « Quand je quitte la chambre de mon fils, j’ai l’impression de quitter un prisonnier ».