Une jeune néerlandaise de 32 ans a réussi à retrouver son père par l’intermédiaire de sociétés américaines spécialisées dans le stockage des données de l’ADN.
A partir de trois échantillons de salive, une banque de données commerciales a permis à la jeune femme de retrouver l’arrière-petite-nièce australienne du donneur de sperme et d’identifier son père à partir de quelques recoupements.
Encouragée par cette découverte qui met en péril l’anonymat des donneurs, Emi Stikkelman veut créer une « association d’aide à la recherche de paternité biologique ».
Les Echos (31/05/2017)