Un jeune britannique de 13 ans vient d’apprendre qu’à la suite d’une erreur de fécondation in vitro, celui qu’il considère comme son père n’est en fait pas son père biologique.
L’hôpital aurait fait une inversion au moment de l’insémination en utilisant le sperme d’un autre donneur. C’est après avoir réalisé des tests ADN, que cette erreur a pu être décelée.
A l’époque des faits en 1988, la Human Fertilisation and Embryology Authority (HFEA) qui délivre des autorisations à l’ensemble des cliniques anglaises pratiquant des FIV n’existait pas.
L’année dernière, à la suite de la naissance de jumelles noires portées par une femme blanche (cf revue de presse du 10/07/02) la HFEA avait mis en place des procédures afin que chaque fécondation in vitro fasse l’objet d’un double contrôle.
The Sun 22/08/02