Des chercheurs américains de Dallas ont modifié un virus afin de pouvoir l’utiliser dans le traitement des maladies cardio-vasculaires d’origine génétique. Ce virus devrait être injecté par voie intra veineuse car il a le potentiel de rester beaucoup plus longtemps dans la circulation sanguine que les vecteurs traditionnels normalement utilisés en thérapie génique.
Ce nouveau vecteur devrait délivrer de manière ciblée le "gène médicament" grâce à ses interactions avec les cellules endothéliales (cellules tapissant la face interne de la paroi des vaisseaux). A l’heure actuelle, il n’a été testé que chez la souris.
Le Quotidien du Médecin 16/02/04