L‘équipe de Judith Melki (Inserm) aurait réussi à ralentir, chez des souris atteintes d’amyotrophie spinale, la paralysie caractéristique de cette maladie par thérapie génique. Les chercheurs ont introduit chez les souris un gène produisant un facteur neuro-protecteur véhiculé par un virus.
Ces résultats sont encourageants pour la recherche sur l’amyotrophie spinale comme le sont les travaux effectués par la même équipe montrant l’effet protecteur des cellules souches musculaires de l’adulte dans des cas de maladie musculaire dégénérative d’origine génétique (cf. revue de presse du 13/05/03 et Lettre Gènéthique de mai 2003).
Ces travaux sont publiés dans la revue scientifique Human Molecular Genetics.
Lire en ligne le résumé de l’étude | |
Consulter le dossier Thérapie génique |
Sciencesetavenir.com 02/06/03