Lundi 25 mars dernier, le gouverneur du New Jersey, Phil Murphy, a annoncé qu’il allait signer le projet de loi voté par l’Assemblée et le Sénat de l’Etat, « autorisant les patients en phase terminale à se procurer un traitement médical mettant fin à leur vie ». Selon la loi, les « résidents adultes du New Jersey » dont le pronostic vital est « de six mois ou moins » pourraient demander une solution létale.
« Le New Jersey devrait investir dans de meilleurs soins et un meilleur soutien en fin de vie, sans pour autant inscrire dans la loi cette politique publique dangereuse », a soutenu Matt Valliere, directeur exécutif du Patients Rights Action Fund, dans un communiqué.
Medical press (25/03/2019)