« Ce n’est pas du tout à l’ordre du jour. » En Hongrie, la ministre des affaires familiales, Katalin Novak, déclare croire au « triomphe du bon sens », plutôt qu’au changement de la règlementation en matière d’avortement.
Grâce à la technologie, la science en sait bien plus sur la vie du fœtus in utero estime-t-elle. La ministre dit croire que cela finira par conduire à un « plus grand respect pour la vie in utero ».
Des organisations gérées par l’Eglise ou par des fondations, ainsi que les services de protection de la famille, sont disponibles pour aider les femmes enceintes en difficulté et les aider à prendre leur décision, déclare la ministre. Selon elle, « c’est peut-être en partie grâce à cela que le nombre d’avortements en Hongrie a diminué de 30% au cours des dix dernières années ». Mais il reste du travail en termes de sensibilisation et d’accessibilité aux différentes formes d’assistance pour les mères.
Source : The Budapest Times, MTI (17/11/2020)