Le Rapport d’activité du groupe national d’appui à la mise en œuvre de la loi du 4 juillet 2001 relative à l’interruption volontaire de grossesse et à la contraception montrait que l’accès à l’IVG demeurait “globalement difficile” et que le départ en retraite de la génération des médecins qui s’était mobilisée pour le vote de la loi Veil allait creuser le déficit des effectifs médicaux.
Dans ce contexte, le ministère de la Santé demande aux préfets et directeurs d’agence régionale de l’Hospitalisation d’observer une série de recommandations comme l’organisation des blocs opératoires pour qu’une plage horaire soit réservée aux IVG et l’intégration des IVG aux volets “périnatalité” des schémas régionaux d’organisation des soins…
Lire en ligne le Rapport d’activité du groupe national d’appui à la mise en œuvre de la loi du 4 juillet 2001 relative à l’interruption volontaire de grossesse et à la contraception
Le Quotidien du Médecin 07/10/03