Les scientifiques de l’Ecole de Médecine de l’Université de Stanford ont utilisé l’outil CRISPR-Cas9 pour réparer le gène cause de la drépanocytose, ouvrant la voie à un remède potentiel à la maladie, qui affecte près de 5 millions de personnes dans le monde.
Le Dr Matthew Porteus, auteur principal de l’étude publiée dans la revue Nature, estime pouvoir débuter le premier essai clinique humain, en utilisant l’outil CRISPR-Cas9.
La drépanocytose est une maladie génétique de l’hémoglobine, une substance contenue dans les globules rouges, qui sert à transporter l’oxygène à travers le corps.
Reuters (Julie Steenhuysen) 07/11/2016