Mardi les députés ont adopté les critères d’accès à l’« aide à mourir », rejetant toutes les protections des plus vulnérables.

Mardi les députés ont adopté les critères d’accès à l’« aide à mourir », rejetant toutes les protections des plus vulnérables.
« Plus de 600 psys » ont signé un appel pour s’opposer à la proposition de loi « relative au droit à l’aide à mourir ».
Lundi, un amendement du Gouvernement a été adopté afin de préciser la définition du terme « phase avancée » .
La Chambre des députés a adopté le 15 mai les conclusions d’une commission d’enquête spéciale.
Vendredi 16 mai à 22h05, à peine les discussions sur la proposition de loi sur les soins palliatifs terminées, l’examen de la proposition de loi « relative au droit à l’aide à mourir » a débuté.
Samedi soir, après le vote de l’article 3, les députés ont commencé l’examen des critères pour accéder à l’« aide à mourir ».
Un amendement du gouvernement, adopté, prévoit que l’euthanasie ne sera pratiquée sur une personne que « lorsqu’elle n’est pas en mesure physiquement d’y procéder ».
Le 16 mai, la proposition de loi de la députée Kim Leadbeater visant à autoriser l’« aide à mourir » en Angleterre et au Pays de Galles est revenue devant le Parlement.
Dans un communiqué de presse daté du 14 mai, l’Académie de médecine appelle à la mise en place d’un « plan national » relatif aux xénotransplantations.