En Thaïlande, les autorités ont mis à jour leurs recommandations au sujet de l’épidémie de Zika ; ils ont « assouplis les conditions légales pour l’avortement », l’autorisant en cas de « malformations congénitales graves » jusqu’à 24 semaines.
L’avortement est autorisé en Thaïlande en cas de viol ou de danger pour la santé de la mère, jusqu’à 12 semaines de grossesse. Au-delà de ce délai, des autorisations sont délivrées « au cas par cas ».
Depuis janvier, la Thaïlande a déclaré 392 personnes infectées par Zika, dont 39 femmes enceintes. Les autorités envisagent de « tester toutes les femmes enceintes ».
Note Gènéthique :
- L’avortement, seule réponse « efficace » face à l’épidémie Zika ?
- Zika et microcéphalie : un lien « vraisemblable » selon l’OMS
Reuters (6/10/2016)