Mercredi 23 janvier, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) "a ouvert […] un numéro vert gratuit pour répondre aux inquiétudes des femmes qui prennent des pilules contraceptives de 3è et 4è génération". Pour le ministère de la Santé, "le débat médiatique actuel a généré de nombreuses questions chez les femmes, notamment utilisatrices de contraceptifs oraux. Elles ont besoin d’informations fiables sur les pilules de 3è et 4è génération et doivent être rassurées et incitées à se tourner vers leur prescripteur pour envisager le moyen contraceptif le plus adapté à leur situation", a-t-il indiqué dans un communiqué.
AFP 23/01/13