A propos du projet de loi sur l’immigration qui autorise notamment le recours aux tests ADN pour les candidats au regroupement familial (cf. Synthèse de presse du 21/09/07), la Conférence des évêques de France a déclaré que "les chrétiens refusent par principe de choisir entre bons et mauvais migrants". D’après elle, les tests génétiques menacent le droit au regroupement familial et pourrait porter atteinte au sens de l’homme et à la dignité de la famille.
CEF.fr 29/09/07 – La Vie 04/10/07