L’IVG et la contraception n’entreront pas dans la Constitution française

Publié le 12 Juil, 2018

L’Assemblée Nationale a rejeté hier les amendements de l’opposition qui réclamaient l’introduction dans la Constitution française de droits à l’IVG et à la contraception (cf. Débat au Sénat sur l’inscription d’un “droit à l’avortement” dans la Constitution : beaucoup de bruit pour rien). Ces amendements ont été proposés sur la base de propositions du Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes.

 

Ces députés ne jugent pas que l’IVG et la contraception soient actuellement menacés en France, mais souhaitent les « consolider », inquiets « des mouvements anti-IVG et des difficultés financières ». Sophie Auconie (UDI-Agir) voulait aussi faire inscrire un « droit à une vie sans violence sexiste et sexuelle ».

 

L’Assemblée a refusé ces demandes.

 

Pour aller plus loin :

L’avortement ne pourra jamais être un « droit fondamental », ni une « liberté »

La nature de l’embryon humain au défi des lois

AFP (11/07/2018)

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