Les médecins catholiques italiens ont publié un document "l’embryon comme patient" dans lequel ils défendent l’embryon sur le plan éthique et juridique. Le texte rappelle les principes éthiques contre l’utilisation commerciale et industrielle de l’embryon humain qui est une "réalité biologique définie avec une identité pas seulement génétique".
En cas de fausses couches, les médecins ne voient pas d’oppositions éthiques aux transplantations. Le Pr. Adriano Bompiani, directeur de Centre international Paul VI – UCSC, explique que "si l’individu est mort, mais biologiquement "vital", il n’y a aucune difficulté à considérer cette transplantation comme un prélèvement à partir d’un cadavre" et précise qu’"il faut le consentement explicite de la mère pour ce don. La transplantation peut de toute façon être effectuée du moment que la fausse couche a lieu avant le troisième mois. Après cette limite, on se heurterait à un rejet".
Zenit 15/03/03