Lundi 23 mars, le parquet de Dijon a classé sans suite l’enquête pour "provocation au suicide" ouverte après le décès de Chantal Sébire, 52 ans, atteinte d’une tumeur incurable et qui demandait l’euthanasie (voir Synthèse de Presse du 28/03/08).
En effet, le 19 mars 2008, Chantal Sébire avait été retrouvée morte à son domicile, après avoir absorbé une "dose mortelle" de barbiturique, accréditant la thèse du suicide. Jean-Pierre Alacchi, le procureur de Dijon, avait alors demandé l’ouverture d’une enquête pour s’assurer que Chantal Sébire s’était donnée la mort sans avoir été aidée.
Hier, Jean-Pierre Alacchi a déclaré : "les nombreuses investigations n’ont en effet rien apporté, aucune personne et aucun laboratoire n’ont pu être mis en cause"
La Croix 24/03/09 – Le Figaro.fr (Laure Daussy) 23/03/09 – Le Monde 25/03/09