Catherine Verfaillie de l’université du Minnesota avait mis en évidence en 2002 la potentialité formidable des cellules souches adultes. Aujourd’hui, elle vient de découvrir que des cellules souches adultes tirées de la moelle osseuse peuvent se différencier en cellules du cerveau moyen. Cette découverte, publiée dans le journal “Proceedings of the National Academy of sciences”, pourrait permettre de soigner des patients atteints de la maladie de Parkinson et d’autres maladies du système nerveux.
Pour C. Verfaillie, les cellules souches adultes ont les mêmes capacités de différenciation que les cellules souches embryonnaires.
Gènéthique