Des chercheurs de l’UZ Leuven ont développé un test de détection des maladies génétiques congénitales chez les embryons issus d’une fécondation in vitro (FIV), dont les résultats sont obtenus plus rapidement qu’avec le DPI classique.
Ce nouveau test « détecte rapidement les anomalies génétiques, y compris les plus complexes que les tests traditionnels ne permettent pas de déceler », et il « dépiste les anomalies chromosomiques, comme la trisomie 21 ». Les chercheurs insistent à la fois sur la fiabilité du test et sur la réduction du temps d’attente des résultats.
L’hôpital universitaire de Louvain applique déjà ce test depuis janvier. Il a par ailleurs remporté « le prix du projet de recherche le plus prometteur lors du dernier congrès annuel de la société américaine de génétique humaine ».
Le Vif (29/05/2015)