Des difficultés de l’AMP

Publié le 17 Mar, 2009

Le Parisien a publié le témoignage de Florence Yanacopoulos à propos de l’assistance médicale à la procréation (AMP). A 33 ans, celle-ci décide d’arrêter la pilule pour avoir un enfant. Confiante – elle a déjà eu une grossesse avortée à 20 ans et son conjoint a déjà eu une petite fille – elle essaie pendant trois ans de concevoir un enfant. A 36 ans, elle se tourne vers l’AMP : "d’abord des cachets pour booster l’ovulation", puis des inséminations, huit au total, suivies de quatre fécondations in vitro (FIV). En vain.

"Il faut que les femmes sachent que la procréation médicalement assistée, c’est très éprouvant. Je me faisais des piqûres dans le ventre tous les soirs à la même heure, j’ai grossi, pris du ventre, vu mon corps évoluer comme si j’avais eu un enfant… J’ai changé de vie, arrêté le sport car je n’avais plus le temps… Je ne vivais plus que pour ça !", confie-t-elle.

Le Parisien (Laure Pelé) 12/03/09

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