Dans la revue scientifique Nature, l’équipe britannique de José Silva (Edimbourg) montre que les cellules souches embryonnaires sont capables, par un phénomène de fusion, « d’effacer » le développement du noyau de cellules déjà différenciées et de les obliger à revenir au stade de pluripotence.
Les chercheurs ont travaillé sur la souris. Ils ont identifié les molécules favorisant la conversion : la protéine Nanog agirait comme principal "organisateur de transcription" et déclencherait l’expression des gènes de pluripotence.
Le Quotidien du Médecin (Dr Guy Benzadon) 15/06/06