Selon Transplant Québec, 90 % des Québécois seraient favorables au don d’organes. Pourtant l’organisme remarque également que lors du décès d’un proche, une famille sur cinq s’oppose au prélèvement d’organes, « même si celui-ci avait consenti par écrit au prélèvement de ses organes ». La mort d’un proche « bouleverse les familles » et « remet tout en question ». « Quand mon père est décédé, j’étais sous le choc. C’était vraiment difficile de prendre une décision et je n’étais pas prête à le laisser partir », témoigne par exemple Karine Robert.
Source : Le Journal de Montréal (14/04/2021) – Photo : Pixabay\DR