Le 6 décembre dernier, la cour constitutionnelle du Chili a rejeté un amendement qui interdisait à certains hôpitaux et cliniques privées de refuser d’effectuer des avortements légaux. En effet, les parlementaires et le président du parti conservateur, Sebastian Pinera, ont estimé qu’il constituait une violation à la liberté d’association et de conscience.
La cour a accepté leur requête. Sa décision n’est pas susceptible d’appel.
L’année dernière, le congrès du Chili a mis fin à l’interdiction totale des avortements, prévue par une loi datant de 1989. Il est désormais légal lorsque la vie de la mère est en danger, si le fœtus n’est pas viable, et dans les cas de viol.
The Washington Times (7/12/18)