L’entreprise israélienne d’imprimante 3D Nano Dimension associée à la firme de biotechnolgoies Accellta, a testé l’impression 3D de cellules souches « ouvrant la voie à l’impression potentielle de grands tissus et organes ». Les imprimantes 3D sont déjà utilisées pour créer des cellules souches pour la recherche, mais la nouveauté réside ici dans la capacité à générer une grande quantité de cellules en un temps record.
La combinaison des techniques des deux sociétés a permis d’améliorer la viabilité et la qualité des cellules produites. Elle permettrait la création d’organes artificiels pour des tests pré-clinique (de sécurité et de toxicologie) de médicaments et de cosmétiques.
Mais bien que le « bioprinting » soit un marché en pleine expansion, les compagnies ont déclaré qu’elles n’avaient pas l’intention d’investir des capitaux importants pour développer cette activité.
Reuters, Steven Scheer (25/05/2016)