240 chercheurs de 11 pays ont annoncé, dans la revue Science, le 10 novembre, avoir séquencé le génome de l’oursin.
L‘analyse de son génome montre que l’oursin partage plus d’un tiers de ses gènes avec l’homme, surpassant la mouche drosophile et le ver nématode. L’oursin offre donc un potentiel de recherche très prometteur, notamment pour la dystrophie musculaire et la maladie de Huntington.
Le Monde 11/10/06 – Le Nouvel Observateur (Cécile Dumas) 10/11/06