Dans une interview au quotidien El País du 12 juin dernier, la nouvelle vice-premier ministre, Carmen Calvo, a affirmé une opposition nette et forte à la GPA. Interrogée au sujet d’une éventuelle légalisation, celle-ci a répondu : « Notre position est très claire. [La GPA], ce sont des ventres à louer, et c’est la nouvelle exploitation du corps des femmes, un commerce de plus. C’est particulièrement grave pour nous parce qu’on utilise le corps de la femme la plus pauvre. Dans cette situation, les euphémismes de langage ne servent à rien ».
El País, Pilar Álvarez (12/06/2018)
BioEdge, Michael Cook (16/06/2018)