Le Washington Post du vendredi 18 mai revient sur les nouvelles techniques de procréation pour femmes stériles mises au point par l’équipe du docteur Jacques Cohen, de l’Institut américain de médecine reproductive à Saint Barnabas (New Jersey – USA).
L’opération consiste à prélever le cytoplasme d’un ovule d’une femme donneuse pour l’injecter dans l’ovule d’une femme stérile, ensuite fécondé par le sperme du partenaire de la femme stérile.
Selon le quotidien américain, les chercheurs n’auraient pas mentionné le fait que deux des dix-sept fœtus créés avec cette technique étaient porteurs d’une maladie génétique rare, le syndrome de Turner, soit « une incidence sept à huit fois supérieure à la normale selon les experts ».
Le Monde 22/05/01