Le Congrès uruguayen aurait adopté, mardi 17 mars, une loi autorisant les malades en phase terminale à refuser les traitements prolongeant leur vie. Selon le quotidien national El Pais, "le Congrès a approuvé la loi dite "de volonté anticipée", qui permet aux personnes, sous réserve qu’elles soient en pleine possession de leurs facultés mentales, de rédiger une lettre indiquant qu’elles ne souhaitent pas être maintenues en état de vie artificielle si elles se trouvent en phase terminale d’une maladie incurable et irréversible". Rédigé devant deux témoins, ce document pourra être révoqué à tout moment.
Courrier International.com 19/03/09 – Le JDD.fr 18/03/09