D‘après une étude publiée dans le Lancet Neurology par une équipe belge, "les personnes en coma vigile (un coma léger dit de stade 1) ressentent la douleur, même si elles ne sont pas en état de l’exprimer et que, dans ces conditions, prescrire une analgésie avant la réalisation de gestes diagnostiques ou thérapeutiques douloureux devrait être systématique".
Un médecin américain, le Dr John Wythe explique dans un éditorial que les réanimateurs sont souvent réticents à mettre en place des traitements antalgiques chez ce genre de patients par crainte de modifier leur état de conscience durant la phase de récupération
Le Quotidien du Médecin (Dr Isabelle Catala) 13/10/08