Une gynécologue de Rennes, le « docteur M. », a été mise en cause par le Conseil de l’Ordre des médecins (CNOM) pour sa prise en charge en 2018 d’un homme à l’état civil souhaitant se voir prescrire « une hormonothérapie féminisante ». Une « mort assistée » n’est certainement pas ce que vous imaginez. Il ne s’agit pas d’une injection létale à effet immédiat. En réalité, c’est « une surdose de médicaments courants, qui peuvent mettre des heures ou des jours à tuer ». Le récit de Kurt Huschle le confirme.
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