La semaine bioéthique – 02 nov. 2021

Publié le 2 Nov, 2021

Une gynécologue de Rennes, le « docteur M. », a été mise en cause par le Conseil de l’Ordre des médecins (CNOM) pour sa prise en charge en 2018 d’un homme à l’état civil souhaitant se voir prescrire « une hormonothérapie féminisante ». Une « mort assistée » n’est certainement pas ce que vous imaginez. Il ne s’agit pas d’une injection létale à effet immédiat. En réalité, c’est « une surdose de médicaments courants, qui peuvent mettre des heures ou des jours à tuer ». Le récit de Kurt Huschle le confirme.

Partager cet article

Synthèses de presse

19_ado
/ Genre, IVG-IMG

Le Nouveau-Mexique favorable à l’IVG et aux transitions de genre

Le gouverneur a promulgué une loi visant à interdire « d'interférer avec la capacité d'une personne à accéder à des services ...
Suicide assisté : plus d'adhérents pour les associations suisses
/ Fin de vie

Suicide assisté : plus d’adhérents pour les associations suisses

En 2022, « plus de 17 000 personnes » sont devenues membres d'Exit. Dignitas a enregistré 832 nouveaux membres la même année ...
Fin de vie : des mutuelles et fédérations professionnelles pour « l’aide active à mourir »
/ Fin de vie

Fin de vie : des mutuelles et fédérations professionnelles pour « l’aide active à mourir »

Une déclaration en faveur de « l’aide active à mourir » a été rédigée ce lundi par plusieurs associations et ...

Textes officiels

Fiches Pratiques

Bibliographie

Lettres