En Grande-Bretagne, le NHS Blood and Transplant (NHSBT) qui s’occupe du don d’organes, a déclaré qu’il ne demanderait plus leur consentement aux proches des personnes décédés, qui s’étaient inscrites comme donneurs sur le registre de la NHS.
En effet, dans près d’un cas sur sept, la famille s’oppose à ce que les organes de leur proche soient prélevés, alors mêmes que la personne était inscrite sur la liste des donneurs depuis 2010.
Pour justifier ce changement, le NHSBT a fait valoir une potentielle augmentation des donneurs de 9%. Pour Sally Johnson, responsable du NHSBT, il s’agit d’« une approche plus honnête », qui respecte le souhait des personnes quant au don de leurs organes.
Les familles pourront toujours opposer leur véto, mais elles devront expliquer leurs motivations dans une lettre.
BBC (14/01/2016)