Une étude publiée dans la revue Nature a mis en lumière une nouvelle découverte de l’équipe de recherche dirigée par l’école de santé publique Harvard T.H. Chan. Ces scientifiques ont découvert un lien entre la durée de vie et l’épissage d’ARN, une fonction essentielle des cellules qui permet à un seul gène de produire une large variété de protéines (cf. 21000 centenaires en 2016 en France, 270000 en 2070 ?).
Les chercheurs savaient que les mutations dans l’épissage ARN pouvaient entraîner l’apparition de maladies, mais ils ignoraient jusque-là la capacité de l’épissage à avoir un impact sur le processus de vieillissement (cf. La quête de l’immortalité mise à mal par une étude américaine).
Futurism (12/12/2016)