La France se dote d’une Académie des technologies de 200 membres élus pour 5 ans : «technologues», économistes, juristes, écologistes et spécialistes de communication. Cette institution succède au Conseil pour les applications de l’Académie des sciences (Cadas) et a pour ambition d’« éclairer le débat citoyen » sur l’omniprésence des technologies, « source de progrès, mais aussi d’interrogations ».
09/12/00