Un nombre croissant de femmes américaines utilisent des traitements de fertilité pour concevoir un bébé. Les femmes attendent plus longtemps pour avoir des enfants et se marier, ou évitent le mariage, et les progrès de la technologie mettent à disposition des “options de traitement”.
Les Centers for Disease Control and Prevention estiment que, chaque année, environ 1,6% des bébés nés aux États-Unis ont été conçus à l’aide de technologies de la procréation assistée. La FIV (Fécondation In Vitro) est, parmi ces technologies, l’approche la plus courante.
Une étude américaine montre, par ailleurs, que les femmes dont les frais sont couverts par une assurance pour la FIV ont plus de chance d’avoir un bébé. Les patientes qui ont des ressources financières plus limitées, arrêtent les traitements après deux cycles de FIV. Elles prennent plus de risques : elles demandent l’implantation d’un plus grand nombre d’embryons par FIV pour avoir plus de chances de tomber enceinte, mais elles augmentent de ce fait les risques de grossesses multiples et de complications.
Reuters (28/03/2017)