En Nouvelle-Zélande, un couple s’est vu contraint de partager la garde de leur enfant né après une gestation par autrui avec la mère porteuse.
Après « plusieurs tentatives infructueuses de maternité de substitution et une fausse couche », Anna et Mark se tournent vers une « connaissance ». Mais peu de temps avant d’accoucher la mère porteuse coupe tout contact avec le couple. Et finit par réclamer la garde de l’enfant. Finalement, après une « médiation », elle accepte une garde partagée à 50%.
En Nouvelle-Zélande, la loi « ne prévoit aucune protection juridique pour les deux parties ». Les parents doivent passer par une procédure d’adoption. Mais ils peuvent aussi « changer d’avis » et abandonner l’enfant à la mère porteuse. La maternité de substitution commerciale est illégale dans le pays. Aucun paiement ne peut être effectué, sauf pour « des dépenses raisonnables ».
Source : New Zealand Herald, Katie Harris (23/01/2021)