Face à la multiplication des tests de paternité, via Internet notamment, la secrétaire d’Etat à la famille, Nadine Morano, a déclaré qu’elle souhaitait conserver une ”législation très stricte” dans le domaine. Elle estime en effet que ”si tous les pères commencent à se poser la question de savoir s’ils sont bien les pères de leurs enfants, on entre dans une société de doute qui met vraiment en péril la famille”. Rappelons qu’en France leur utilisation est réservée aux procédures judiciaires.
La Croix 12/05/09