D‘après une étude du Dr Tarun Jain de l’Université de l’Illinois de Chicago parue dans le journal Fertility and Sterility de mars 2005, un nombre significatif de femmes traitées pour infertilité choisiraient le sexe de leur enfant si cela n’entraînait aucun frais.
Deux techniques sont actuellement disponibles en théorie : la séparation des spermatozoïdes ou le diagnostic préimplantatoire. Le recours à ces pratiques est réservé pour l’instant aux familles qui présentent des risques de maladies génétiques liées au sexe.
Le Collège américain des gynécologues obstétriciens et la Fédération internationale des gynécologues sont opposés à la sélection des sexes pour des raisons non médicales. En revanche, la société américaine de la reproduction estime que cette technique est acceptable pour une famille qui souhaite avoir un enfant du sexe différent de celui qu’elles ont déjà.
Medicms.be 10/05/05