Au Pakistan, une infirmière de 26 ans a été violée par trois hommes de son village parce qu’elle avait refusé pendant 6 mois de pratiquer des avortements sur deux femmes enceintes.
Ce n’est pas la première fois qu’une telle pression est utilisée contre des infirmières mais ce cas est le premier a avoir été rendu public, la législation n’étant pas du tout favorable aux victimes de viol.
Rappelons que le Pakistan est sous forte pression de l’ONU pour "contrôler" sa population : l’ONU a menacé en 2000 de priver ce pays d’une importante somme allouée à l’aide médicale s’il n’acceptait pas 35 millions de dollars supplémentaires pour financer contraception et avortements.
Présent (Jeanne Smits) 04/03/06