La réputation de l’industrie de la gestation pour autrui (GPA) en Inde a été maintes fois entachée par des révélations sur ses dysfonctionnements dommageables pour les mères porteuses. En effet, des situations d’exploitation ont été soulignées ainsi que l’absence de protection en cas de crises médicales (mort de l’enfant, etc.) “Cela donne une mauvaise image de la profession et du pays car près de 50% des couples recourant à une GPA en Inde proviennent de l’étranger.“
Le législateur traîne toutefois à établir des recommandations pour protéger ces femmes en précarité économique. L’Indian Society for Third-Party Assisted Reproduction (INSTAR) a été mandatée pour proposer des recommandations éthiques. Parmi celles-ci figure la rédaction des documents dans la langue maternelle des femmes, ce qui n’est apparemment pas respecté actuellement.
bioedge.org (Michael Cook) 28/10/2013