Deux couples poursuivent en justice un médecin et sa clinique de fertilité new yorkaise : ils ont eu recours à une PMA avec don d’ovocytes, mais ces gamètes ont transmis à leurs enfants le syndrome de l’X fragile[1]. Les parents reprochent au médecin de ne pas avoir testé les donneuses d’ovocytes pour déterminer si elles étaient porteuses de cette maladie génétique, et réclament des dommages et intérêts pour leurs enfants handicapés. La cour d’appel de New York a examiné le cas mercredi, et devrait rendre sa décision en 2018.
[1] Maladie génétique rare associée à un déficit intellectuel léger à sévère, causée par une mutation sur le chromosome X.
Washington times, David Klepper (15/11/2017)